Journée de la gentillesse ...
Hier 13 novembre, c'était paraît-il la journée de la gentillesse.
Eh ben MME a dû encore oublier de regarder le calendrier...
En effet suite à son coup de fil de dimanche, j'ai pris le soin de lui écrire un p'tit courrier où je lui expliquais que globalement il rêvait s'il pensait prendre notre puce le we du 23.
Il a donc reçu mon p'tit mot hier ...
Premier constat : il sait finalement lire ...
Second constat : son champ lexical s'agrandit de manière exponentielle. En effet, pensez donc, en 6 minutes et 14 secondes de conversation (entendez par là 'il hurle et je tente d'en placer une'), il a réussi à me dire que je n'étais qu'une sale conne, qu'il faisait ce qu'il voulait comme il voulait avec la garde de C., que je n'avais qu'à aller me faire foutre, que mes courriers je pouvais me les coller au c**, que je devais fermer ma grande gu****, que je n'étais qu'une pourriture et a conclu en me disant qu'il allait venir me 'bourrer la gu****' si je continuais à le faire ch*** (sur ces propos à vous coller le vertige tant ça vole haut, il a courageusement ... raccroché).
Je comprends soudainement beaucoup mieux pourquoi C. quand elle passe un peu de temps chez lui rentre avec un vocabulaire à faire pâlir un charretier.
Enfin ce que j'ai compris surtout aussi (mais il me l'a dit, enfin aboyé plutôt, donc ça aide), c'est qu'il refuse désormais de prendre notre fille pour les week-end et qu'il ne la prendra que pour les vacances, et encore, si et seulement si, ça correspond à une période où la fille de sa femme est également présente à leur domicile.
Pour parachever son oeuvre, il a rappelé ce midi ma puce et lui a indiqué qu'il était contraint de s'éloigner d'elle ... à cause de ... je vous le donne en mille : Moi ! En effet, je lui ferais du mal (à lui, pauv' tite chose fragile) à chaque fois qu'il tenterait de s'occuper d'elle. Ma fille s'est étouffé en entendant cela, preuve qu'elle a suffisamment de discernement pour comprendre ce qui se passe ... (ça n'empêche pas, bien au contraire, qu'elle souffre de ce qui se passe)
Si c'est ça la journée de la gentillesse, eh ben on va vite oublier le 13 novembre ...
Enfin en attendant, j'suis ravie d'avoir appris que j'étais l'incarnation du Mal ... Moi, une Succube ? Bah après tout pourquoi pas ?
De toutes façons, comme me l'a fait remarquer quelqu'un aujourd'hui, si MME me trouvait des qualités, vu ce qu'il est devenu, ça en serait presque insultant ...
Toujours est-il que quelque chose ne tourne sérieusement pas rond pour que plus de trois ans après notre séparation, le contentieux reste aussi vif et qu'il soit toujours (voire de plus en plus) en guerre contre moi. Et dire que je n'aspire qu'à une chose : qu'il me foute la paix ... On peut dire que c'est loupé.
Eh ben MME a dû encore oublier de regarder le calendrier...
En effet suite à son coup de fil de dimanche, j'ai pris le soin de lui écrire un p'tit courrier où je lui expliquais que globalement il rêvait s'il pensait prendre notre puce le we du 23.
Il a donc reçu mon p'tit mot hier ...
Premier constat : il sait finalement lire ...
Second constat : son champ lexical s'agrandit de manière exponentielle. En effet, pensez donc, en 6 minutes et 14 secondes de conversation (entendez par là 'il hurle et je tente d'en placer une'), il a réussi à me dire que je n'étais qu'une sale conne, qu'il faisait ce qu'il voulait comme il voulait avec la garde de C., que je n'avais qu'à aller me faire foutre, que mes courriers je pouvais me les coller au c**, que je devais fermer ma grande gu****, que je n'étais qu'une pourriture et a conclu en me disant qu'il allait venir me 'bourrer la gu****' si je continuais à le faire ch*** (sur ces propos à vous coller le vertige tant ça vole haut, il a courageusement ... raccroché).
Je comprends soudainement beaucoup mieux pourquoi C. quand elle passe un peu de temps chez lui rentre avec un vocabulaire à faire pâlir un charretier.
Enfin ce que j'ai compris surtout aussi (mais il me l'a dit, enfin aboyé plutôt, donc ça aide), c'est qu'il refuse désormais de prendre notre fille pour les week-end et qu'il ne la prendra que pour les vacances, et encore, si et seulement si, ça correspond à une période où la fille de sa femme est également présente à leur domicile.
Pour parachever son oeuvre, il a rappelé ce midi ma puce et lui a indiqué qu'il était contraint de s'éloigner d'elle ... à cause de ... je vous le donne en mille : Moi ! En effet, je lui ferais du mal (à lui, pauv' tite chose fragile) à chaque fois qu'il tenterait de s'occuper d'elle. Ma fille s'est étouffé en entendant cela, preuve qu'elle a suffisamment de discernement pour comprendre ce qui se passe ... (ça n'empêche pas, bien au contraire, qu'elle souffre de ce qui se passe)
Si c'est ça la journée de la gentillesse, eh ben on va vite oublier le 13 novembre ...
Enfin en attendant, j'suis ravie d'avoir appris que j'étais l'incarnation du Mal ... Moi, une Succube ? Bah après tout pourquoi pas ?
De toutes façons, comme me l'a fait remarquer quelqu'un aujourd'hui, si MME me trouvait des qualités, vu ce qu'il est devenu, ça en serait presque insultant ...
Toujours est-il que quelque chose ne tourne sérieusement pas rond pour que plus de trois ans après notre séparation, le contentieux reste aussi vif et qu'il soit toujours (voire de plus en plus) en guerre contre moi. Et dire que je n'aspire qu'à une chose : qu'il me foute la paix ... On peut dire que c'est loupé.
Libellés : Monsieur Mon Ex ...