Voilà 5 ans ....
... que tu es partie ailleurs, laissant derrière toi deux petites filles encore toutes petites qui n'ont pas compris ce qui est arrivé à leur maman, nous laissant, tes amies, tes proches avec un goût amer dans la bouche.
Je ne te connaissais pas depuis longtemps, mais nous nous étions entendues à merveille dès le départ, toutes deux un peu perdues dans ce centre médicalisé, séparées de nos enfants . Une sorte de coup de foudre amical ...
Savais-tu à ce moment là que cette sal****** d'alcool qui avait été tant de temps ta compagne préférée t'avait déjà détruite ? Te savais-tu déjà condamnée ? En tous cas, jamais tu n'en as parlé, faisant au contraire mille projets avec au centre de chacun d'eux tes deux filles, et aux dernières nouvelles, tu avais enfin décidé de quitter ce mari qui n'en était pas un et qui avait contribué à ta chute, tu voulais tant te reconstruire, tu semblais tellement y croire, me donnant à moi la force de me battre contre mes compulsions, contre mes idées suicidaires ...
Tant de soirées passées à bavarder des heures durant, soit ensemble dans la salle de détente du centre médicalisé, soit au téléphone, tant de courriers échangés, tant de photos prises et échangées, autant de traces de ce lien qui s'était tissé entre nous.
Et puis un jour de janvier, après t'avoir eue au téléphone quelques jours plus tôt, un autre appel, celui d'un 'copain' commun m'apprenant que tu étais dans le coma ... et quelques heures plus tard, un nouvel appel de cette personne m'annonçant que tu étais partie ... Surprise, tristesse ...
Ton 'mari' n'a jamais répondu à mes appels, ni à mes courriers, j'ai appris qu'il avait obtenu pour un temps la garde de tes deux princesses. J'espère de tout coeur qu'il a su s'en occuper ... Et qu'aujourd'hui elles grandissent et sont heureuses. Je suis sûre que de là où tu es, tu veilles sur elles.
Je ne suis jamais retournée dans ta 'région', ce magnifique coin de montagne proche de l'Italie ... Pas même pour te rendre 'visite' ... Mais tu es toujours là, aussi vivante que tu ne l'étais lorsque nous nous sommes connues, ton rire résonnant encore à mes oreilles.
Tu me manques toujours, la miss alors j'espère au moins que là où tu es tu as pu enfin trouver la paix et un Apollon avec qui partager un p"tit coin de paradis ...
Je ne te connaissais pas depuis longtemps, mais nous nous étions entendues à merveille dès le départ, toutes deux un peu perdues dans ce centre médicalisé, séparées de nos enfants . Une sorte de coup de foudre amical ...
Savais-tu à ce moment là que cette sal****** d'alcool qui avait été tant de temps ta compagne préférée t'avait déjà détruite ? Te savais-tu déjà condamnée ? En tous cas, jamais tu n'en as parlé, faisant au contraire mille projets avec au centre de chacun d'eux tes deux filles, et aux dernières nouvelles, tu avais enfin décidé de quitter ce mari qui n'en était pas un et qui avait contribué à ta chute, tu voulais tant te reconstruire, tu semblais tellement y croire, me donnant à moi la force de me battre contre mes compulsions, contre mes idées suicidaires ...
Tant de soirées passées à bavarder des heures durant, soit ensemble dans la salle de détente du centre médicalisé, soit au téléphone, tant de courriers échangés, tant de photos prises et échangées, autant de traces de ce lien qui s'était tissé entre nous.
Et puis un jour de janvier, après t'avoir eue au téléphone quelques jours plus tôt, un autre appel, celui d'un 'copain' commun m'apprenant que tu étais dans le coma ... et quelques heures plus tard, un nouvel appel de cette personne m'annonçant que tu étais partie ... Surprise, tristesse ...
Ton 'mari' n'a jamais répondu à mes appels, ni à mes courriers, j'ai appris qu'il avait obtenu pour un temps la garde de tes deux princesses. J'espère de tout coeur qu'il a su s'en occuper ... Et qu'aujourd'hui elles grandissent et sont heureuses. Je suis sûre que de là où tu es, tu veilles sur elles.
Je ne suis jamais retournée dans ta 'région', ce magnifique coin de montagne proche de l'Italie ... Pas même pour te rendre 'visite' ... Mais tu es toujours là, aussi vivante que tu ne l'étais lorsque nous nous sommes connues, ton rire résonnant encore à mes oreilles.
Tu me manques toujours, la miss alors j'espère au moins que là où tu es tu as pu enfin trouver la paix et un Apollon avec qui partager un p"tit coin de paradis ...
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