vendredi 17 février 2006

Enfin !

Ca y est, il est 19h45 ... et depuis 45 minutes je suis en vacances !
Alors effectivement il est plus que probable que le téléphone sonne dans les 8 prochains jours parce qu' "on" aura besoin de savoir où se situe tel ou tel papier ou qu' "on" ne se souviendra pas d'un truc mais en tous cas, je peux dès maintenant couper la sonnerie de mon réveil jusqu'au 27 février ... Bon, j'admets, ces jours derniers qu'elle soit coupée ou non revenait au même vu que je ne l'entendais jamais ... et que je suis immanquablement arrivée en retard au bureau le matin.
J'admets également qu'avec C. à la maison il est fort peu probable que la grasse matinée dépasse le cap des 8 heures du mat' ...
N'empêche que ... Ca fait un bien fou de savoir que pendant une semaine et quelques poussières je n'aurai pas à regarder, totalement flippée, l'heure qu'il est en ouvrant les yeux le matin !
Si "Celui qui" pouvait prendre lui aussi quelques jours de congés, je crois qu'on pourrait appeler les jours à venir de purs moments de bonheur ...

jeudi 16 février 2006

Retenez moi ...

... j'vais faire un malheur !
La mauvaise foi de certaine personne aurait légèrement tendance à me porter sur les nerfs ... mais alors légèrement !!!!
Résultat : humeur exécrable tendance détestable ....

mercredi 15 février 2006

I'm just a jealous girl ...

"La jalousie
Te crèvera le cœur
Tu attends, tu guettes
Tu épies tu pleures"
Rita Mitsouko

On m'a toujours enseigné que la jalousie était un vilain défaut ... et jusqu'à récemment, ce n'était pas le genre de sentiment que j'avais pour habitude de ressentir. Alors pourquoi faut il que depuis quelques semaines j'éprouve cette sensation dès lors que "Celui qui" n'est pas là, me parle des amies qu'il cotoie, des filles qu'il croise ? J'ai toujours crié haut et fort qu'être jaloux c'était ne pas avoir confiance en l'autre mais aussi et surtout en soi. J'en suis toujours convaincue mais voilà aujourd'hui cela me tombe dessus ! En dépit d'un énorme problème de manque d'assurance, d'absence de confiance en moi ( mais je me soigne ... ou j'essaie) , je n'ai jamais douté des sentiments de l'Autre à mon égard , l'Autre pouvait bien voir des amies, ne pas me raconter par le menu ses journées, ne pas me répéter à longueur de journée qu'il était fou de moi, cela m'était (presque) égal, j'avais au fond de moi la certitude ( ou quelque chose qui y ressemblait) qu'il m'aimait et que rien ne pouvait arriver. Tout cela était vrai ... jusqu'à CETTE relation née il y a quelques semaines. Alors effectivement, "Celui qui", pour l'instant, trouve cela charmant - d'autant que Monsieur est lui même du genre possessif et un brin jaloux - mais j'ai comme un doute sur le fait que cela l'amuse indéfiniment de me voir virer du blanc au vert dès qu'il parle ... ou pire dès qu'il ne parle pas de ce à quoi il occupe son temps en mon absence ( et vu qu'on ne se voit pas quotidiennement, il y en a des moments où je suis absente ...) .

** secouage de neurones ** ( oui oui, avec un 's' ...)

A bien y réfléchir ... Ceci est ma première 'vraie' relation depuis ma rupture avec le charmant monsieur que j'ai eu le tort de considérer comme la personne avec laquelle je passerais les 50 prochaines années. Les historiettes de ces derniers mois ( je rappelle que le pluriel est obligatoire dès lors qu'on dépasse "1" ... ) n'étaient que des illusions dans lesquelles je me noyais une heure, un jour, une semaine. Là, les choses sont un brin ( euphémisme) différentes et tandis que je cherche une explication forcément emmêlée, peut être ma crainte d'être trompée, abandonnée est elle tout bêtement la résultante des causes de ma dernière rupture ...

Il est des moments où je me demande pourquoi je cherche toujours les complications quand les choses sont limpides ... ou presque !

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