Bilan d'un week-end trop bref ....
( désolée pour le style décousu, mais je suis supposée être au bureau ... donc je n'ai pas eu le temps de relire et ce soir je suis supposée bosser mes cours ( si 'on' ne m'en empêche pas évidemment ... ;-) )
En voyant le ciel hier après-midi, en entendant les prévisions météo tard hier soir et en voyant ce qui dégringolait au petit jour, mon namoureux a repris la route ce matin … Un rendez vous professionnel important l’attend demain et je n’ai pas osé faire preuve d’égoïsme en lui demandant de rester jusqu’à demain matin comme prévu …
Il me manque déjà …
Le week-end fut (bien) trop court … Et j’ai hâte de le retrouver … ce week-end peut être … (oh yes !)
Mes doutes ont continué de me laisser tranquille, j’ai ainsi pu profiter de chaque minute passée avec lui et c’était super agréable …
Et puis nous avons parlé, beaucoup …
Il m’a fait la promesse que j’ai tant attendue, celle qu’il ne se murerait plus jamais dans un silence obstiné comme il l’a fait … Parce qu’il a réalisé le mal qu’il (m’) avait fait, parce que de son côté à lui, il a souffert aussi et qu’il m’a avoué qu’à un moment donné il ne savait plus comment ‘revenir’, conscient de l’accueil triomphal que j’allais lui réserver ( ce qui fut le cas, dans le genre cassante, glaciale et désobligeante, j’ai été au top ce jour là …)
Pour la première fois nous avons évoqué nos vacances d’été …
Pour la première fois il a évoqué la possibilité de me présenter à sa famille qui vit dans le Sud … Cela devrait se faire d’ici le début juin à l’occasion de l’anniversaire de mariage de ses parents …
Et surtout, pour la première fois, il a fait allusion au fait qu’il n’était pas hostile au fait de venir s’installer par ici dans un futur plus ou moins proche … Cela impliquerait bien évidemment au minimum un aller-retour Ici – Paris par semaine mais ‘c’est tout à fait gérable’ ( selon ses propres mots) …
Dites, vous croyez que j’ai le droit de crier au monde entier que j’suis heureuse ????
Alors certes, ce fut trop court … Mais des week-end comme ça, j’en voudrais bien 52 par an ... ;-)
Il me manque déjà …
Le week-end fut (bien) trop court … Et j’ai hâte de le retrouver … ce week-end peut être … (oh yes !)
Mes doutes ont continué de me laisser tranquille, j’ai ainsi pu profiter de chaque minute passée avec lui et c’était super agréable …
Et puis nous avons parlé, beaucoup …
Il m’a fait la promesse que j’ai tant attendue, celle qu’il ne se murerait plus jamais dans un silence obstiné comme il l’a fait … Parce qu’il a réalisé le mal qu’il (m’) avait fait, parce que de son côté à lui, il a souffert aussi et qu’il m’a avoué qu’à un moment donné il ne savait plus comment ‘revenir’, conscient de l’accueil triomphal que j’allais lui réserver ( ce qui fut le cas, dans le genre cassante, glaciale et désobligeante, j’ai été au top ce jour là …)
Pour la première fois nous avons évoqué nos vacances d’été …
Pour la première fois il a évoqué la possibilité de me présenter à sa famille qui vit dans le Sud … Cela devrait se faire d’ici le début juin à l’occasion de l’anniversaire de mariage de ses parents …
Et surtout, pour la première fois, il a fait allusion au fait qu’il n’était pas hostile au fait de venir s’installer par ici dans un futur plus ou moins proche … Cela impliquerait bien évidemment au minimum un aller-retour Ici – Paris par semaine mais ‘c’est tout à fait gérable’ ( selon ses propres mots) …
Dites, vous croyez que j’ai le droit de crier au monde entier que j’suis heureuse ????
Alors certes, ce fut trop court … Mais des week-end comme ça, j’en voudrais bien 52 par an ... ;-)
Libellés : Peut être Lui ... Peut être Nous ...
bafouillé par Poussières d'Etoiles at 2:48 PM
4 Comments:
Et bien moi je dis : oui ! le bonheur se vit au présent, chaque jour, chaque minute...
C'est bon de ressentir que tu vas bien !
Tout plein de bonnes choses à toi !
Bisous
Je susi contente pour toi. Non, ne perds pas l'occasion de dire/écrire au monde entier (et à toi-même) que tu es heureuse... :)
La vie ne serait-elle donc qu'un "grand 8" ?... comme ces montagnes russes qui vous font aller très haut puis redescendre très bas ?... chassez les doutes, ils reviennent au galop... et puis tiens, dehors il neige, et on s'aperçoit, après avoir pesté contre ce blanc manteau qui vous a fait remettre le namoureux sur sa moto (ça rime !), que les doutes ne reviennent plus au galop... juste un peu au trot... comme si on commençait enfin à rester en haut de cette montagne russe, et qu'on narguait ces doutes restés dans la vallée...
Parvenir enfin à ne plus cnahter "fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve"...
Gros bisous
pourvu que ca dure, la belle aventure...la la lal a
ne tombe pas de ton nuage, reste là haut c'est super beau :-)
bisous
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